Conflit de famille

Catégories : Asian Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme
il y a 5 ans

Aujourd’hui, c’est l’anniversaire des cinquante ans de mariage, de Marie et Emile. Pour l’occasion, ils ont prévu  un grand barbecue autour de la piscine.

La famille est au complet. Frères, sœurs, tantes, oncles, neveux…

Il y a tatie Francine, la cinquantaine, qui, même si elle est un peu potelée, n’en reste pas moins ravissante. Elle est vêtue d’un maillot deux pièces, attaché sur le côté et dans le dos, par des fines cordelettes. Voila que vers dix sept heures, Aurore s’invite à la fête avec sa copine Jennifer.

-Tiens, dit Francine, regardez qui est là. Aurore. Ca va ma chérie ?

-Pas trop.

-A bon, qu’est-ce qu’il t’arrive.

-C’est quoi le bruit que tu fais courir sur mon compte. Tu racontes à qui veut l’entendre que je suis une pute, une gouine.

-Ah ah, c’est ça, sourit Francine, tu vois…il n’y a que la vérité qui fâche.

-Tu sais ce que tu mérites mauvais langue, dit Aurore, une bonne gifle.

-Quoi, s’esclaffe Francine, j’aimerai bien voir ça. Tu ne veux quand même pas que je te mette une rouste devant tout le monde ?

-Pauvre conasse, je préfère m’en aller, plutôt que t’humilier devant les invités.

-Hey, attend, dit Francine, tu crois que tu me fais peu. On peut s’expliquer si tu veux.

Aurore s’apprête à partir, quand sa tante l’interpelle une seconde fois. Aurore se retourne juste au moment ou Francine lui fonce dessus, tête baissée. Aurore a le réflexe de bloquer la tête de sa tante entre ses jambes. Aurore a devant elle, le dos de sa tante. Calmement, Aurore tire les lacets qui tiennent le haut du maillot. Les invités qui ne sont pas au courant de la dispute, crient en cœur.

« A poil…à poil…à poil… »

Aurore s’attaque maintenant au bas, dont elle tire également les attaches. Francine se retrouve entièrement nue devant les invités, mais surtout humiliée par sa nièce. D’un mouvement brusque, cette dernière la bascule au sol, lui fait une clé au ventre. Francine se trouve bloquée, jambes écartées, sa chatte offerte à la vue des convives, mais aussi aux mains d’Aurore.

Elle regarde sa tante dans les yeux, puis descend une main entre ses cuisses. Deux doigts frictionnent les lèvres intimes entre elle, remonte jusqu’au clitoris.

-Arrêtes, crie Francine honteuse. Tu vas voir connasse…aidez moi, vous, elle va s’amuser avec ma petite chatte, et je ne pourrai même pas me défendre.

-Pourquoi, tu n’aimes pas qu’on joue avec, qu’on caresse ton clito…

-Si, mais je vais être toute mouillée après…

Mais Aurore n’a que faire. Elle enfonce deux doigts dans la chatte de sa tante, et commence à la branler. Francine, humiliée, essaie de se libérer, en vain. Aurore ne lâche pas prise. Au bout de dix minutes, Francine se calme, comme si elle acceptait la punition. Dans un dernier sursaut, elle hurle de plaisir.

-Ahou…ah…salope, regardes comme je suis écartée…hou…hou…arrêtes, tu vas me faire jouir…non, pas ça, pas devant tout le monde…je ne veux pas qu’ils me voient jouir… oh mon dieu…ça y est, je joui…ah…ah…ah…arrêtes de me branler..

-Alors tatie, sourit Aurore, tu te régales…tu aimes ça, hein…

-Oui j’aime ça…mais qu’est-ce qu’on va penser de moi…que je suis une salope…

Les invités restent ko debout, de voir le traitement qu’Aurore a fait subir à sa tante, et qui en plus, a pris énormément de plaisir. Aurore la libère enfin. Francine se lève, saisit une serviette sur la table, essuie l’abondante cyprine qui s’échappe de sa fente.

-Regardez ce qu’elle m’a fait…ma chatte est toute mouillée, tellement qu’elle m’a branlée. Et mon petit bouton, vous avez vu comme elle me la décalotté. Et vous, vous n’êtes pas intervenu. Vous vous êtes moqué de moi quand j’ai jouis…

Francine, rouge de honte, remet son maillot, puis rejoins les invités. Elle tourne autour d’Aurore, cherche à la coincer. Mais la nièce n’est pas dupe, la surveille du coin de l’œil. Aussi, elle n’est pas surprise quand sa tante passe à l’attaque.

Pour la deuxième fois, Francine se retrouve bloquée au sol, dans la même situation que tout à l’heure. Et comme tout à l’heure, elle va être humiliée.

Les doigts pénètrent profondément la chatte, se recroquevillent à l’intérieur. Francine, les jambes en l’air, se fait branler la chatte. Un doigt, plus curieux, gratte le petit trou, tandis qu’un autre, excite le clitoris.

-Oh mon dieu…oh mon dieu, supplie Francine, qu’est-ce que tu fais à mon petit bouton, ma chérie…c’est bon tu sais.

-T’aimes pas tatie, pourtant, tu le bouge ton cul de salope…tu sens ton clito rouler entre mes doigts…hum, c’est bon ça, hein…il est tout rouge.

-Assez…assez, tu vas me faire jouir…ah…ah…hou…hou…oh oui ma chérie…vas-y.

Francine se cambre sur ses pieds, a un orgasme terrible. Par pudeur, les invités se sont retournés quand ils ont compris qu’elle allait jouir. Aurore se penche, murmure quelques mots à l’oreille de sa tante. Cette dernière acquiesce de la tête Francine la libère, et l’entraine dans un chambre, ou l’attend Jennifer.

-Elle est à toi ma chérie, dit Aurore. Tu peux jouer avec elle, lui faire ce que tu veux. Régale la.

Puis Aurore rejoins les convives, laissant Francine aux mains perverses de sa copine. Et Francine va subir tous les caprices de Jennifer. De la terrasse, on l’entend crier quand elle atteint l’orgasme. Mais on l’entend pleurer aussi, quand Jennifer lui met une fessée magistrale.

Vers vingt deux heures, les deux copines décident de rentrer. Elles prennent Francine chacune par un bras, et l’emmène avec elle.

-Ne vous inquiétez pas, dit Aurore, elle couche à la maison cette nuit, hein tatie ? Dis leur que tu veux, que tu as envie qu’on s’amuse avec toi.

-Oui j’ai envie, répond Francine soumise, je veux qu’elles s’amusent avec moi.

-Et avec quoi précisément, demande Jennifer.

-Avec ma petite chatte, et mon petit bouton…mon petit trou aussi.

-C’est bien, sourit Aurore, et tu as promis quoi encore, dis le.

-D’être sage et obéissante, sinon je prendrai la fessée.

-Allez, au revoir tout le monde, dit Aurore, et merci.

Le lendemain, chez le boucher, les voisins racontent avoir entendu une femme crier une bonne partie de la nuit.

-A bon, et que criait-elle, demande la bouchère.

-Encore…encore, branlez ma petite chatte, doigtez mon clito, prenez mon petit trou. Elle n’a pas arrêté de jouir. A entendre les rires, je pense qu’elle était avec deux jeunes filles.

-Et vous connaissez cette salope, demande la bouchère.

-Moi je la connais, dit une cliente. C’est Francine, celle qui trompe son mari avec Djamel, ce jeune maghrébin d’à peine dix huit ans.

La bouchère se retourne, s’appuie sur son plan de travail.

« L’enfoiré, il m’a laissée tomber pour baiser avec cette connasse »

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement